Préservation et restauration des milieux marins : publication du Position Paper de CDC Biodiversité
Fonds marins ©c.dascher
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Alors que la 3e Conférence Mondiale des Nations Unies sur les Océans, vient de se clore, CDC Biodiversité souhaite aujourd’hui rappeler son positionnement et ses recommandations en faveur de la préservation et de la restauration des milieux marins. Si de nombreuses annonces ont pu être diffusées par un large panel d’acteurs économiques et institutionnels, plusieurs défis techniques, organisationnels et financiers restent encore à relever.

Plusieurs réponses ont pu être apportées lors d’un événement labellisé « Année de la mer », organisé dans le cadre de l’UNOC à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Nice. Construit en partenariat avec l’Ifremer, EDF Renouvelables, le WWF, et avec la participation de Carbone4, ce fut l’occasion de discuter des moyens et leviers pour prendre en compte ces enjeux au sein des modèles d’affaires, et de définir de nouvelles perspectives de financement.

Présentation Rivière de la Reyssouze © Fond Nature 2050

Dans ce contexte CDC Biodiversité, filiale de premier rang du Groupe Caisse des Dépôts, créée en 2008 avec pour but de concilier développement économique et préservation de la biodiversité a souhaité rappeler ses positions sur la préservation et la restauration des écosystèmes marins.

Les éléments qui suivent sont fondés sur deux questions essentielles :

• Comment accompagner l’engagement des acteurs économiques pour la prise en compte de leurs impacts directs et dans leur chaine de valeur, au travers de stratégies concrètes et volontaires à la mesure de leur responsabilité environnementale ?

• Comment donner des perspectives de financement à la restauration de ces écosystèmes marins tant pour satisfaire une absence de perte nette pour équilibrer les nouveaux impacts, que pour satisfaire le traitement historique de cette dégradation ?

Ces questions permettent de décliner la position de CDC Biodiversité qui souhaite rappeler l’importance de porter un même niveau d’ambition en matière de lutte contre la dégradation des milieux marins que sur les milieux terrestres ; et l’importance de fournir à cette ambition des dispositifs opérationnels pour qu’elle se décline concrètement.